76 000 tonnes de pesticides sont déversées chaque année sur notre pays et contribuent largement à nous empoisonner
70% des cancers sont liés à l’environnement dont 30% à la pollution et 40% à l’alimentation.
Chaque année en Europe 100 000 enfants décèdent suite à des maladies causées par l’environnement.
En France, on constate une augmentation annuelle de 1,1% des cancers chez les enfants, ainsi qu’une augmentation globale de 93% en 25 ans ; en outre le monde paysan est de plus en plus atteint de cancer et de maladies dégénératives, à tel point qu’il vaut mieux habiter en ville pour éviter d’être passivement pollué par les divers épandages.
Les difficultés grandissantes des couples à avoir un enfant ne sont pas sans rapport avec une diminution de 40% en 20 ans du nombre de spermatozoïdes, en rapport avec des perturbations hormonales liées à la pollution industrielle.
Cet empoisonnement lent, progressif, insidieux risque de faire de nos enfants des vieux avant l’âge, si nous ne réagissons pas immédiatement pour leur sauvegarde, et ce d’autant plus qu’il n’existe plus de sélection « darwinienne » qui, lors des siècles passés, empêchaient que ne se reproduisent des individus porteurs d’anomalies génétiques les rendant plus fragiles.
Il ne suffit pas simplement de méditer sur ces constatations, il faut agir, et agir vite, avant qu’il ne soit trop tard.
Mais en attendant des décisions politiques environnementales exemptes de langue de bois, sauve qui peut, que chacun prenne son destin en main !